24 février 2022 – Sommaire CO2 CSR (voir tableau ci-dessous)

Récemment, le ministère de l’Éducation (MEQ) a procédé à l’acquisition de 90 000 lecteurs de dioxyde de carbone (CO2) avec comme objectif qu’ils soient installés dans toutes les classes du Québec, et ce, en vue d’assurer un suivi rigoureux de la qualité de l’air intérieur.

Dès la réception, la commission scolaire Riverside procède à l’installation de ces appareils dans toutes les classes. Ces appareils évaluent la concentration de CO2 dans les salles de classe et mesurent la température et l’humidité relative. Les données ainsi recueillies permettent de cibler les endroits où des correctifs doivent être apportés, le cas échéant. La cueillette et l’analyse de ces données permettent également d’obtenir un portrait en temps réel des paramètres de confort. Les directions d’établissement pourront alors prendre les mesures nécessaires pour assurer le maintien d’une bonne qualité de l’air dans les classes de leur établissement.

Rappelons que le CO2 est produit naturellement par la respiration humaine et que sa présence dans les locaux scolaires n’occasionne pas d’effets sur la santé. Le CO2 représente toutefois un indicateur de la qualité de la ventilation et un indicateur de confort. Le Ministère vise une concentration quotidienne moyenne de CO2 inférieure à 1 000 parties par million (ppm). Cette cible est utilisée pour orienter les travaux d’amélioration de la qualité de l’air dans les établissements scolaires au cours des prochaines années. À noter qu’une concentration moyenne quotidienne de CO2 inférieure à 1 500 ppm est un indicateur d’une ventilation adéquate.

Pour s’assurer de rencontrer les valeurs moyennes quotidiennes mentionnées ci-dessus, deux approches sont retenues pour contrôler la concentration de CO2 dans une salle de classe :

  1. En se servant de l’affichage des données sur les lecteurs, le personnel des établissements scolaires s’assure que les concentrations de CO2 dans les locaux ne dépassent pas 1 500 ppm. Les enseignants interviennent directement pour optimiser l’ouverture des fenêtres et des portes comme prévu dans le protocole de gestion de la qualité de l’air;
  • Le Service des ressources matérielles de la commission scolaire Riverside recueille et analyse les moyennes quotidiennes enregistrées, et ce, dans le but de planifier et de prioriser les différents travaux d’amélioration à apporter.

Dans le cadre de la gestion de la qualité de l’air dans nos établissements scolaires, il importe de rappeler que le MEQ travaille de pair avec les instances de santé publique. Ainsi, cette démarche de collaboration avec des experts indépendants en ventilation et en qualité de l’air intérieur vise à maintenir des milieux scolaires bien ventilés à long terme, bien au-delà de la pandémie de la COVID-19.

Pour plus d’informations, consultez la page Web sur la qualité de l’air dans les écoles
sur Québec.ca : https://www.quebec.ca/education/prescolaire-primaire-et-secondaire/qualite-air-ecoles.

Napperon du gouvernement du Québec

Qualité de l’air, CO2 et déploiement de lecteurs de paramètres de confort : un Ministère et un réseau en action

23 février 2022 – Qualité de l’air dans les écoles – Des premières données de lecture encourageantes

Pour lire les NOUVELLES FOURNIES PAR le Ministère de l’Éducation, cliquez ici.


19 janvier 2022 – Mise à jour de l’installation de lecteurs de CO2

À ce jour, 15 écoles sur 26 ont leurs sondes de qualité de l’air intérieur (QAI) installé et opérationnel. Toutes les sondes reçues à ce jour sont installées. Nous procédons à l’installation des sondes avec diligence dès que nous les recevons.

Vous pouvez également visiter la page web du gouvernement du Québec en cliquant ici.

Qualité de l’air et installation de lecteurs de CO2

Vous trouverez ci-dessous une communication rédigé par le Ministère en collaboration avec des représentants du réseau de l’éducation et différents partenaires gouvernementaux concernant l’installation des lecteurs CO2 dans nos écoles et nos centres.

15 septembre 2021 – Qualité de l’air dans les écoles

Qualité de l’air et installation de lecteurs de CO2 dans l’ensemble des classes du Québec

Une initiative unique !
L’installation de lecteurs dans les lieux d’apprentissage scolaires permettra de faire la collecte
de données en continu et d’ainsi apporter les correctifs nécessaires plus rapidement. Le Québec
est précurseur avec cette vaste opération et il s’agit d’une première du genre au Canada.
Cette initiative s’inscrit dans le cadre du programme de tests systématiques de trois paramètres
de la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments scolaires, mis sur pied par le ministère de l’Éducation :
le taux de dioxyde de carbone (CO2), le taux d’humidité relative et la température.

20 avril 2021 – Communiqué de presse du Gouvernement du Québec

Qualité de l’air dans les écoles
Résultats et correctifs apportés en lien avec l’exercice de mesure des taux de CO2

Mise à jour 22 mars 2021- Mesures de CO2

Comme vous le savez, nous avons récemment procédé à des mesures de dioxyde de carbone (CO2) dans l’ensemble de ses établissements afin de s’assurer de la qualité de l’air. Les résultats des mesures de CO2, lesquels ont également été transmis au ministère de l’Éducation, peuvent être consultés sur le site web de chacune de nos écoles (Blogue – Rapports) ou vous pouvez cliquez ici pour voir le document complet.

Il est primordial pour nous d’assurer la qualité de l’air dans nos établissements. La santé et la sécurité des élèves et du personnel sont notre priorité absolue, surtout en cette période exceptionnelle.

Ainsi, les tests ont été effectués selon les directives ministérielles, afin de mesurer adéquatement le taux de dioxyde de carbone dans nos locaux, lequel donne une bonne idée de la qualité de l’air.

Procédure d’analyse

Pour chacune des classes identifiées, le taux de CO₂ a été mesurés à trois reprises durant une période de cours notamment avant et au milieu du cours. La troisième mesure a été prise après l’ouverture de fenêtres ou de la porte durant une période de 20 minutes. Bien que le ministère de l’Éducation juge acceptables des concentrations de CO2 inférieures à 1500 ppm, les commissions scolaires sont invitées à prendre des mesures afin de viser la cible de 1000 ppm, soit le seuil de confort établi par Santé Canada. Des actions doivent être prises rapidement, lorsque les concentrations dépassent 1000 ppm et dans un délai d’une semaine, lorsqu’elles atteignent 2000 ppm.

Les classes identifiées ont été choisies afin de représenter le portrait global de l’école en fonction de la configuration des classes (orientation par rapport au vent et au soleil, l’étage sur lequel elle se trouve, nombre de fenêtres, type de ventilation, etc.) ainsi qu’en fonction des occupants de la classe (niveau scolaire, nombre d’occupants, etc.).

Actions prises localement

Afin d’assurer une qualité de l’air optimale dans les classes, tous ont été invités à appliquer les mesures prescrites.

Dans le cas des établissements disposant d’une ventilation mécanique, les ressources matérielles se sont assurées de son bon fonctionnement et de son efficacité. Dans le cas des établissements avec une ventilation naturelle, l’ouverture des fenêtres et des portes est appliquée afin d’assurer le renouvellement de l’air.

De plus, chaque école possède un équipé d’un appareil portable de mesure instantanée de CO2. Ces équipements permettent, à l’équipe école, de faire un suivi et de permettre une validation des actions mise en place, le cas échéant.

L’ensemble des mesures sanitaires mises en place pour freiner la propagation de la COVID-19 contribue également à assurer la santé et la sécurité de tous.


Le 13 janvier 2021, nous avons reçu de nouvelles directives du ministère de l’Éducation demandant à toutes les commissions scolaires et à tous les centres de services scolaires de poursuivre l’échantillonnage des niveaux de CO2 dans toutes leurs écoles et leurs centres.

Pour chaque bâtiment, des mesures seront prises selon la procédure établie en décembre, dans quatre à dix classes. Les classes seront choisies pour qu’elles soient représentatives de l’ensemble de l’école (différentes orientations par rapport au vent, différents niveaux scolaires, différents étages, différentes dates de construction, etc.). Ainsi les actions correctives, le cas échéant, pourront s’appliquer aux classes similaires. Dans une même école, si c’est possible, des mesures seront prises en avant-midi et en après-midi.

Des mesures d’humidité relative et de température seront également prises avec les taux de CO2.

Les paramètres précédents seront mesurés, que le local soit ventilé mécaniquement ou naturellement.

Si au terme de l’exercice, le taux de CO2 mesuré dans une classe ventilée naturellement excède la valeur de 1 000 ppm, l’enseignant et la direction responsables du bâtiment seront avisés d’ouvrir les fenêtres plus régulièrement.

Dans une classe ventilée mécaniquement, si le taux de CO2 mesuré dépasse 1000 ppm, une inspection du système de ventilation doit être faite et des correctifs apportés pour améliorer la situation, par exemple en augmentant le débit d’air frais.

Une fois les actions correctives mises en place, des mesures de C02 seront reprises afin de s’assurer de leurs efficacités.


Dans le but de documenter la possibilité de transmission de la COVID-19 par les aérosols, le Ministère de l’Éducation du Québec (MEQ) nous demande de procéder à un échantillonnage de l’air afin d’établir un portrait de la concentration de dioxyde de carbone (CO2) dans nos salles de classe.

Plus précisément, on nous demande d’effectuer des mesures du niveau de dioxyde de carbone (CO2), selon un échantillonnage représentatif des bâtiments pour nous assurer que la concentration de CO2 dans l’air des salles de classe est conforme aux normes applicables. Le niveau de CO2 est un bon indicateur de l’apport d’air frais dans une pièce. Un apport élevé d’air frais indique une circulation d’air et une dispersion d’aérosol.                 

Dans le but d’assurer la qualité et l’uniformité des tests qui seront effectués, une procédure a été établie par le MEQ et sera suivie par toutes les commissions scolaires et tous les centres de service scolaires du Québec.

Les écoles sont sélectionnées en fonction de paramètres définis afin que des écoles primaires, secondaires et des centres soient échantillonnés et que les écoles possédant une ventilation naturelle et mécanique soient également échantillonnées. Toutes les écoles ne seront pas visitées, mais l’échantillonnage reflétera la majorité des situations propres à l’ensemble de la commission scolaire.

Dans chaque école désignée, au moins 4 salles de classe seront testées à 3 moments différents, à savoir avant l’arrivée des élèves, après 20 minutes d’activités pédagogiques et après l’ouverture des fenêtres, en vue d’obtenir un portrait complet.

Si un écart du niveau de CO2 par rapport aux normes applicables est identifié, des mesures correctives seront mises en œuvre pour l’ensemble de la commission scolaire dans l’intention de traiter toutes les situations de circonstances similaires.

Ventilation dans les écoles pour la période estivale

3 juin 2021 – Dans le contexte actuel de pandémie de COVID-19, en règle générale, il n’est pas recommandé d’utiliser des ventilateurs sur pied ou des appareils de climatisation portables, puisque ceux-ci augmentent le risque de propagation de gouttelettes virales et, donc, d’éclosions.

Mesures passives d’atténuation de la chaleur et d’appoint pour aider le confort 

  • Boire souvent, sans attendre d’avoir soif. Apporter une gourde d’eau à l’école.
  • Maintenir les fenêtres et portes ouvertes jusqu’à 10h le matin.
  • Fermer rideaux ou stores lorsque le soleil brille.
  • Dans la journée, il est recommandé d’assurer un apport de nouvel air minimalement 3 fois par jour pour une durée d’environ 15 minutes.
  • Favoriser l’enseignement à l’extérieur sur des terrains de jeu ou autres dans l’ombre ou en utilisant un abri soleil permettant la circulation du vent rafraîchissant.
  • Lorsque possible, garder les lumières et les appareils électriques éteints lors des cours.

Néanmoins, la santé publique permet l’utilisation de ventilateurs sur pied ou d’appareils de climatisation portables comme dernier recours lorsque la température atteint des niveaux extrêmes et que les autres moyens privilégiés ne suffisent plus à assurer le confort des élèves et du personnel.

Dans tous les cas, il est primordial de continuer d’appliquer avec assiduité les mesures sanitaires en vigueur : port du masque, distanciation physique, hygiène des mains, nettoyage des surfaces.


Le 8 janvier 2021, l’INSPQ a rendu public le rapport du groupe d’experts scientifiques et techniques sur la transmission de la COVID-19 en milieux scolaires et en milieux de soins et sur le rôle de la ventilation. Basé sur ce rapport nous avons reçu, le 13 janvier 2021, de nouvelles directives du MEQ nous indiquent qu’il n’est pas recommandé d’utiliser de dispositifs de filtration mobiles (ou purificateurs d’air) en milieu scolaire, en raison :

  • De leur efficacité non démontrée à ce jour pour contrer la transmission de maladies par aérosol ;
  • De leur efficacité réduite dans une grande pièce (comme une classe où les sources de particules potentiellement infectieuses sont dispersées ou éloignées de l’appareil) ;
  • Du risque d’une utilisation inappropriée (génération possible de flux d’air porteur d’aérosols);
  • Du bruit qu’ils produisent qui pourrait nuire à la concentration.

L’installation de tels équipements peut également générer un faux sentiment de sécurité. Ces dispositifs ne sont pas en mesure de contrer la transmission du COVID-19 par les contacts rapprochés avec une personne infectée, soit le principal mode de transmission reconnu.


Le 27 novembre 2020, le ministère de l’Éducation (MEQ) a publié un rapport sur les plans de gestion de la qualité de l’air des  milieux intérieurs des commissions scolaires qui comprend l’avancement d’entretien ménager, l’avancement de l’entretien préventif des équipements de ventilation, la gestion de la qualité de l’air intérieur (QAI) ainsi que leurs registres des matériaux susceptibles de contenir de l’amiante et du radon. Ce rapport est basé sur des documents que les centres de service scolaires et les commissions scolaires devaient déposer auprès du ministère.

Pour la Commission scolaire Riverside, cependant, une chaîne d’événements malheureux liés à la transmission électronique de nos documents a empêché que nos données soient incluses dans le rapport du MEQ. Veuillez consulter les informations ci-dessous qui auraient dû être incluses dans le rapport du MEQ:

1234567
% Avancement de l’entretien ménager% Avancement ventilation% Mise en place plan d’entretien électromécanique% Avancement global de mise en place du plan de gestion de la QAI% Avancement des matériaux susectibles de contenir de l’amiante% Avancement des relevés de concentration de radon
% Avancement installation des détecteurs de monoxyde de carbone
100%100%91.25%100%100%100%100%

Ouverture des fenêtres
Nous souhaitons clarifier nos directives concernant l’ouverture des fenêtres dans nos écoles. Pour les écoles qui n’ont pas de ventilation mécanique, ouvrir les fenêtres est le meilleur moyen de faire entrer de l’air frais dans les salles de classe. Les Ressources matérielles ont envoyé des recommandations aux écoles comme suit: ouvrir les fenêtres pendant 15 minutes le matin, à la récréation, au dîner, à la récréation de l’après-midi et à la fin de la journée lorsque les élèves ne sont pas en classe. Cependant, il faut également considérer que certaines de nos écoles ont des fenêtres très hautes, que les enseignants supervisent également les récréations, que l’heure du dîner est souvent prise en classe, que les élèves restent dans la classe les jours de pluie, etc., il est donc possible que ces directives ne puissent pas être suivies à la lettre, mais les directives de la Santé publique sont toujours respectées. Quoi qu’il en soit, il est toujours préférable d’ouvrir les fenêtres pendant la journée. Par conséquent, il peut arriver que les fenêtres soient ouvertes lorsque les élèves sont en classe. Nous demandons aux élèves de venir à l’école avec un vêtement chaud supplémentaire, AU CAS, où les fenêtres doivent être ouvertes lorsqu’ils sont en classe. Sachez que nos écoles et nos enseignants font leur possible pour le bien-être des élèves.
Nous vous remercions pour votre compréhension.


Nous aimerions répondre aux nombreuses questions et préoccupations que nous avons reçues de parents concernant la ventilation dans nos écoles. Vous trouverez ci-dessous une liste d’actions menées dans nos établissements scolaires en ce qui a trait à la ventilation. Ces procédures sont mises en œuvre depuis le début de l’année conformément aux directives de la Santé publique et aux recommandations de l’INSPQ.

Les fenêtres

La grande majorité de nos écoles et centres ont des fenêtres qui s’ouvrent, c’est pourquoi nous favorisons la ventilation naturelle des locaux en les ouvrant régulièrement (avant les cours, pendant la récréation, pendant l’heure du dîner ou lorsque les élèves sont sortis pour leurs cours d’éducation physique, etc.). Cette pratique est également la principale recommandation de l’INSPQ.

Ventilation mécanique

Si nos salles de classe ont des fenêtres qui ne s’ouvrent pas, c’est que l’école est équipée d’un système de ventilation mécanique. Sachez que ces systèmes sont en bon état de fonctionnement.

Surveillance de nos systèmes

Notre équipe des Ressources matérielles surveille régulièrement l’état des systèmes de ventilation dans nos écoles et nos centres et effectue un entretien en continu. Notamment, tous les filtres des systèmes de ventilation sont changés périodiquement plusieurs fois par an, dépassant les normes fixées par les fabricants. Dans le contexte de la crise sanitaire, non seulement nous continuons à les surveiller, mais nous avons également prolongé les heures de fonctionnement des systèmes afin de les faire fonctionner non seulement lorsque les bâtiments sont occupés, mais en tout temps (24/7) afin de favoriser le renouvellement de l’air à l’intérieur de nos bâtiments. De plus, nous vérifions spécifiquement les composants mécaniques pour nous assurer que les salles de classe sont bien alimentées.

Ministère

Par ailleurs, vous avez peut-être vu circuler dans les médias que le ministère de la Santé envisage de former un comité d’experts qui comprendra des spécialistes de l’INSPQ et du ministère de la Santé qui feront des recommandations d’ici la fin novembre, concernant, entre autres, la ventilation dans les écoles. Les recommandations de ce comité seront mises en œuvre dans nos communautés, tout comme celles déjà émises par l’INSPQ et la Santé publique.

Nous espérons que ces clarifications atténueront les inquiétudes concernant la ventilation dans nos écoles et nos centres. Le bien-être de nos élèves et de notre personnel est une priorité.

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